Restaurant L'ETINCELLE Brunoy

Accueil chaleureux et personnel très attentionné. Tout est parfait de l'entrée au dessert. Produits frais et très belle présentation. On reviendra c'est sûr. Merci à toute l équipe

Passer votre chemin Accueil glacial, hautain et arrogant du plus âgé des serveurs Aucun respect du client. Chaleur étouffante, dans une véranda, toutes portes fermées, avec en prime le soleil du mois d’Août, aucun store Demande de notre part d’ouvrir les grands parasols extérieurs qui étaient fermés afin de créer une protection relative… Remarques désobligeantes du plus âgé des serveurs qui s’exécute par obligation… Poursuite du repas dans une chaleur incommodante… Nous en-trouvons une porte fenêtre qui nous jouxte pour avoir un peu d'air, qu'il referme violemment, avant de prendre une télécommande et de feindre d'arrêter la clim (pure utopie car la veille au téléphone il m’avait dit que la clim ne fonctionnait pas…) Il ouvre alors les toutes les portes, au grand soulagement des autres convives, contents tous enfin de pouvoir respirer. Quand mon frère est allé régler le repas, agressivité du même serveur et du patron-cuisinier prévenu par ses soins, qui l’ont traité de « perturbateurs » « qui a créé le trouble aux autres tables. Nous avons 88, 72, 68 et 65 ans et nous voulions fêter un anniversaire tranquillement… notre repas fut gâché A éviter si vous êtes à mobilité réduite : Aucune possibilité d’utiliser la rampe d’accès pour personne à mobilité réduite : non indiquée à l’entrée, fermée à clé et obstruée par une table de 2 convives. Hallucinant Nous n'y retournerons plus

Cuisine bonne et bien mise en valeur, carte changeant régulièrement, produits de bonne qualité, service chaleureux et ayant son caractère propre, bon choix de vin à la carafe bref une très bonne expérience dans un cadre sympa.

Accueil Minable. RV pris ce dimanche midi pour 12h15. Nous arrivons à 12h18. Un Monsieur pas très souriant (nous dérangeons) vient vers nous. Il nous demande de patienter, ils n’ont pas fini de déjeuner (les employés). Livrés à nous mêmes, debout, au beau milieu de la salle, nous décidons de partir. Vers 12h 25, le Monsieur, nous interpelle, dehors, il nous voit nous diriger vers notre voiture. Nous lui répondons que c’est trop tard, et surtout, que nous ne voulons pas déranger.